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We live a dying dream, if you know what i mean.



 
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 We live a dying dream, if you know what i mean.

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Kanon Masukawa
SAY MY NAME, SAY MY NAME:
Kanon Masukawa
HEART MIND & SOUL.
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▌Petits Mensonges : 328
▌Music : FICTION ♛ BEAST
▌Quotes : A philosopher once asked, -Are we human because we gaze at the stars or do we gaze at the stars because we are human?- Pointless really. Do the stars gaze back? Now that's a question.

Got a Secret ;
■Pseudo : T s u b a s a.
■Classe Sur Frenesis: Acolyte



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We live a dying dream, if you know what i mean.  Vide
MessageSujet: We live a dying dream, if you know what i mean.    We live a dying dream, if you know what i mean.  EmptyJeu 14 Juil - 6:06



FATE LEADS YOU AT NIGHT.
«SOMETHING WAS LOST SO SUDDENLY, YOU CAME INTO MY MIND.»
We live a dying dream, if you know what i mean.  2cz4q5u




L
e tintement clair d’un verre porté aux lèvres, les soupirs languissants de quelques piliers de bar et le son lointain de la musique de fond. C’est à peu près tout ce que l’on pouvait entendre au Cat’s Eye ce soir-là. Reposant le combiné du téléphone, situé dans un petit recoin de la salle principale, Kanon retourna ensuite à son poste, derrière le comptoir. Selon la personne qu’elle venait juste d’avoir au bout du fil, le taxi n’était pas loin et arriverait dans quelques minutes. Oui c’était aussi cela son boulot de serveuse : appeler les compagnies de transports pour que les clients bien trop saouls puissent rentrer chez eux au lieu de s’endormir sur le trottoir le plus proche jusqu’au petit matin. Accoudée, derrière l’imposant bar laqué et impeccablement lustré, la petite serveuse semblait malheureusement s’ennuyer. Même si ce n’était pas un endroit réputé pour son importante fréquentation, il y avait souvent, de ci-delà des discussions animés, qu’elle aimait écouter d’une oreille amusée. Pour avoir passé presque un an à travailler ici, elle savait bien que les confessions d’ivrognes étaient sans doute les plus drôles et les plus anecdotiques. Enfin, bien entendu, cet avis personnel n’engageait qu’elle. Sans s’en apercevoir presque dix minutes s’étaient écoulées et Kanon sut alors qu’il était temps d’aider le pauvre bougre affalé sur un des tabourets à rejoindre son carrosse. Repassant de l’autre côté du comptoir, elle l’aida à se lever et le conduisit jusqu’à la porte d’entrée. Métier ingrat.

Une fois dehors, l’atmosphère cosy du bar s’éteignait complètement laissant place à un brouhaha quasi infernale de son, de lumière et d’odeur. Au bout de la ruelle du Cat’s Eye, le taxi était bien là comme prévu. De là où elle était, elle avait même put apercevoir la fumée s’échapper du pot d’échappement. À n’en point douter le compteur tournait déjà et pour le pauvre client presque inconscient la note serait salée. Alors qu’elle essayait tant bien que mal de le faire monter dans le véhicule, l’homme d’une quarantaine d’années se tourna vers elle, les yeux mi-clos et un petit sourire aux lèvres, comme si un semblant de lucidité lui était subitement revenu le temps d’un court instant:

    ▬« Vous êtes bien gentille mademoiselle et jolie en plus…ça vous dirais pas de … »

Elle avait refermé la portière sans même attendre la fin de la réplique. Un tantinet piquée au vif par cette phrase, elle ne pouvait s’empêcher alors de penser à quel point les hommes ivres pouvaient être de sales types. Quoi qu’en y repensant bien, certains n’avaient pas vraiment besoin d’alcool. Assaillie par l’incertitude, elle finit tout de même par revenir sur son jugement. Peut-être s’était-elle faite des idées quant à la fin de la phrase. Cette nuit-là, dans sa toute magnanimité, elle laissa au pauvre bougre le bénéfice du doute. Puis, cette pensée disparut lentement lorsqu’elle s’engouffra à nouveau dans la petite ruelle sombre, guidée au loin par le néon presque terne de l’enseigne du Cat’s Eye.

Depuis près d’un quart d’heure ses yeux n’avaient pas quitté la grande horloge qui trônait au-dessus du vieux flipper, placé dans un petit coin de la pièce. Pourquoi l’aiguille n’avançait-elle pas ? La garce, elle la soupçonnait même de reculer. Malgré tout elle se retint de soupirer en servant un énième café au vieil habitué du bar. Il était très exactement une heure vingt du matin. Son service, ou dans un langage plus proche de la réalité : son calvaire, prendrait fin dans deux heures et vingt minutes exactement. Deux heures et vingt minutes dont elle devrait combler le blanc d’un ennui mortel. Néanmoins, elle pouvait se réjouir d’une chose : il ne lui arriverait rien ce soir. Et c’était finalement plutôt rassurant.

Bercée par la lente monotonie de l’ambiance, elle repassait dans sa tête la liste des choses qu’elle avait déjà faites. Sortir les poubelles, nettoyer les quelques verres sales qui trainaient, ramasser ses pourboires, passer un coup de chiffon sur le comptoir. Tout cela avait déjà été effectué. Elle en venait presque à être impressionnée par sa propre efficacité malgré la fatigue accumulée tout au long de la semaine. En ce moment-même, elle haïssait sa propre existence. Mais c’était compréhensible car ces derniers jours n’avaient pas été de tout repos pour la jeune étudiante : entre le reportage sur la section médecine pour le journal de l’université, son exposé en économie, un examen en sciences politique, la course poursuite infernale à travers Shibuya pour échapper aux créanciers de son oncle et bien entendu ces fichus travaux à deux pas de son appartement qui la réveillaient tous les matins à six heure depuis pas moins de quatre jours, elle était épuisée. Exténuée. Au bord de la crise de nerf. En analysant la situation de plus près, de manière calme et réfléchie, il lui semblait même que sa vie ne tenait plus qu’à un fil. Encore une goutte d’eau et le vase serait plein. Pire, elle finirait par se noyer à l’intérieur.

La demoiselle se dépêcha de récupérer l’argent laissé par un client qui venait de quitter l’établissement. Pas même un pourboire, pesta-t-elle intérieurement. Attrapant la bouteille de bière qui trônait sur la table juste en face de l’entrée d’un geste sûr et habile, elle y passa ensuite un rapide coup de chiffon pour la rendre à nouveau présentable. Alors qu’elle s’apprêtait à rejoindre l’arrière-boutique, elle entendit derrière elle le grincement significatif de la porte d’entrée. Sans grand enthousiasme, elle se retourna avec un large sourire feint pour lancer son éternelle phrase d’accueil :

    ▬« Bienve… »

Le corps vide de la bouteille qu’elle tenait entre les mains tomba et se brisa sur le sol impeccable du bar. Les yeux rivés sur le nouvel arrivant, la bouche grande ouverte, son sourire avait disparu aussi vite qu’il était apparu. Alors celle-là, elle ne l’avait vraiment pas vu venir. Pour une nuit où rien n’aurait dut se passer, c’en était déjà trop. Comment fallait-il faire déjà, dans ce genre de situation ? Ah oui, continuer de sourire comme si de rien n’était. Sourire comme si on le pensait.



Dernière édition par Kanon Masukawa le Dim 17 Juil - 2:59, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: We live a dying dream, if you know what i mean.    We live a dying dream, if you know what i mean.  EmptyJeu 14 Juil - 14:21


Qui n'appréciait pas l'été ? Qui ? Surement les pingouins, mais ce n'était pas le cas de notre jeune ami qui, terminant de s'étirer de tout son long, sortait d'une séance du soir ou il avait prit un peu d'avance sur ses études. Il était comme ça, lorsqu'il désirait réussir dans quelque chose, il s'en donnait les moyens et quoi de mieux qu'un véritable chirurgien pour lui donner les meilleurs des conseils pour ses études à venir ? Oh, il n'avait pas eu besoin de lui demander deux fois pour que l'homme veuille bien l'aider, il lui avait glissé un joli petit billet dans sa chemise afin qu'il ne puisse pas dire non pour quelques petites heures de courts par semaine. Ce n'était rien, rien du tout pour lui.

Soupirant, il s'alluma une cigarette lorsqu'il sortit du bâtiment et resta un petit moment sur place, à ne rien faire, à seulement profiter de l'instant présent, pensant à diverses choses, comme par exemple son année d'étude et celles à venir. Il avait bien changé le petit gamin des quartiers qui se battait avec plus grands que sois et l’adolescent irrespectueux et plein d’orgueil qui faisait comme bon lui semblait. Il avait murit et avait décidé de quitter la demeure ou il vivait à la recherche d'une voix qu'il avait lui même choisis, celle de la médecine. Lui qui avait fait souffrir bien du monde, il tentait de se racheter comme il le pouvait, bien que son caractère de leader possessif et impulsif était toujours bien encré en lui.

Malheur à celui ou celle qui tente de lui mettre des bâtons dans les roues, il saura s'occuper de la personne de la meilleur des façons. Crachant un léger filer de fumée par sa bouche, il se dirigea vers le parking tandis que la ville semblait toujours aussi active malgré l'heure tardive. C'était ainsi... Ici, les gens avaient bien souvent une double vie et celle de la nuit était souvent la plus intéressante aux yeux du jeune homme qui en avait vu des belles et des pas murs lorsqu'il était encore sous l'aile du « Boss » de la mafia japonaise. Aujourd'hui, il faisait tout comme bon lui semblait... même s'il le faisait déjà à l'époque. Souriant, il ouvrit sa voiture et au même instant la musique se mit à faire légèrement vibrer la voiture.

Baissant rapidement le volume, il resta un petit instant la à réfléchir à ce qu'il allait faire. Premièrement, il n'avait pas de court le lendemain. Il pouvait donc faire son petit foufou et profiter de la fin de la nuit. Deuxièmement, il n'était pas si proche de chez lui, alors il pouvait se rendre dans des endroits plutôt intéressants. Troisièmement, il n'avait pas sommeil et avait bien envie d'aller boire un verre. Ainsi donc il allait se rendre dans un bar et tandis qu'un sourire digne des pires criminels s'affichait sur son visage, il glissa la clé dans le contact et lança la voiture dans la rue, direction un petit endroit fort minable, mais qui valait le détour. Le Cat's Eye. Oh, l'endroit n'était pas extra, mais la barmaid valait le détour.

Il ne lui fallut pas bien longtemps pour rejoindre le lieu désiré, se garer, vérifier qu'il avait quelques petites pièces et pousser la porte de l'établissement, un sourire aux lèvres lorsque la jeune femme lui souhaita la bienvenue ou tout du moins, elle s'arrêta en court de route, lâcha littéralement la bouteille qu'elle tenait dans ses mains à la vue du nouvel arrivant. Avec un sourire triomphale, il s'approcha jusqu'au bar ou il s'y accouda, se penchant en avant pour regarder les morceaux de verre éclatés sur le sol. Et ben... il se ne savait pas aussi... choquant. Prenant un tabouret, il s'installa tout en regardant la jeune femme droit dans les yeux.
    ••• La véritable formule est "Bienvenue très cher invité" Kanon. On ne t'a jamais apprit ça ?
Il cherchait les bouteilles qui pourraient l'intéressait et voulait bien un petit cocktail fort sympathique.
    ••• Une Chimayo cocktail, c'est possible ?
C'était un cocktail à base de tequilla, de jus de pomme et de jus de citron. Rien de bien compliqué, mais bon, ce n'était que le début de la soirée. Il allait bien s'occuper d'elle jusqu'à la fermeture et bien plus encore. Il avait tout son temps et il serait pour la charmante jeune femme populaire qui était obligée de travailler dans un établissement miteux pour pouvoir vivre. Quelle ironie du sort... Quelle chance avait il eu de la trouver dans ce bar... il avait de quoi la faire chanter et à vrai dire, s'en était que plus drôle à chacune de leurs rencontres, surtout quand il lui « demandait » quelques petits services.
    ••• Je crois qu'ils recrutent une femme de ménage à la faculté, vu comment tu es douée, tu devrais postuler tu sais.
Il lui avait chuchoté ces doux mots avec un sourire des plus malsain, c'était vraiment un enfoiré.

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MessageSujet: Re: We live a dying dream, if you know what i mean.    We live a dying dream, if you know what i mean.  EmptyVen 15 Juil - 1:55



YOU DON'T KNOW ME.
«SO SHUT UP BOY, SO SHUT UP BOY.»

P
endant un instant son esprit avait flotté dans l’air, inconscient et immatériel. Il lui fallut entendre les premières paroles du client fraichement débarqué pour que Kanon revienne à elle, dans son corps de petite serveuse sans importance. À peine leurs regards s’étaient-ils croisés, qu’elle avait préféré détourner le sien ailleurs. Non pas par timidité mais plutôt pour éviter la tentative de meurtre qui commençait à bouillonner dans sa tête. Et dire qu’il avait encore eu l’audace de se présenter ici après tout ce qu’elle devait subir par sa faute. Elle n’en revenait toujours pas. Cependant, elle avait bien d’autres chats à fouetter. À ses pieds, gisaient encore les débris de verre et ils n’allaient sûrement pas se ramasser grâce au saint esprit et encore moins grâce à cet imbécile de maître chanteur. Mais il vrai que s’il avait dut compter sur l’un des deux, elle se serait sans doute convertie à la religion.

La jeune fille se baissa alors pour ramasser les gros morceaux de bouteille en prenant bien soin de ne pas se couper, tout en écoutant la commande de son « cher invité ». Qu’il se soit assis en face d’elle au bar où elle travaille, ça elle pouvait encore le supporter et encore c'était limite, qu’il lui commande des cocktails improbables aux noms stupides, elle pouvait prendre sur elle mais alors son ironie à deux balles, il pouvait se la garder et se la mettre…enfin bref, pas la peine de faire un dessin explicatif. Femme de ménage ? Elle lui en mettrait des femmes de ménages, va ! Excédée, que dis-je, au bord de l'infarctus, l’étudiante se releva d’un bond jetant un regard noir à celui qui avait eu l’outrecuidance de la prendre pour une technicienne de surface, avant de se souvenir qu’ici, le client était roi. Et perdre son travail, c'était bien la dernière chose dont elle avait besoin. Elle inspira un grand coup puis lui adressa tout naturellement un de ses faux sourires les plus charmeurs :

    ▬« Un Chimayo cocktail, c’est bien ça ? Mais tout de suite, cher client. »

Elle avait prononcé ces deux derniers mots, les dents serrés avec une gentillesse bien trop emphatique pour être réelle. Lui tournant les talons, elle s’engouffra par la suite dans l’arrière-boutique pour jeter les débris de verre. Il ne payait rien pour attendre. Encore un fils à papa qui se permettait de critiquer les honnêtes travailleurs. Elle en était désormais persuadée, ce garçon arrogant n’avait jamais intégrer le mot « besoin » dans son vocabulaire. Elle, par contre, comptait bien lui inculquer celui de « respect ». Parole d’honneur.

Kanon était loin d’être experte en l’art et la matière de préparer et servir des cocktails mais elle savait se débrouiller et s’adapter en toutes circonstance. Dans le pire des cas, il pourrait aller vomir dans les toilettes. Et dans le meilleur ? Il sortirait du bar les deux pieds devant. Cette pensée la fit doucement ricaner. Si seulement. Alors qu’elle regardait les diverses feuilles de recettes accrochés sur un des murs de l’entrepôt à bouteilles, elle finit par tomber sur la bonne. Tequila, jus de pomme et citron vert. Pas de cyanure au programme, c’en était presque décevant.

Une fois la préparation retenue, elle s’en retourna derrière le comptoir pour se mettre au travail. Que disait donc le papier déjà ? Quatre centilitres de tequila ainsi que de jus de pomme et pour terminer deux de jus de citron. Mais au moment de s’affairer à la tâche, une étincelle diabolique, digne du Malin lui-même, traversa son regard. Tournant le dos à Kaoru, elle commença son petit mélange à l’abri des regards indiscrets. Alors six centilitre de tequila, trois de jus de citron et de deux de jus de pomme, c’était cela n’est-ce pas ? Croyez-le, si elle avait eu du Tabasco sous la main, elle en aurait sûrement ajouté. Elle referma alors le shaker contenant la mixture avant de le secouer rageusement de toutes ses forces, comme si la personne qu’elle détestait le plus se trouvait à l’intérieur. Prenant un verre, elle le plaça de manière brutale devant le commanditaire avant de le remplir délicatement avec le contenu du shaker. Tout en versant la boisson avec précaution, elle lui susurra quelques mots :

    ▬« Je ne sais pas ce que tu viens encore faire ici mais si tu as quelque chose à me demander, une fois de plus, t’aurais pu le faire ailleurs que sur mon lieu de travail. Et une chose encore, ne m’appelle pas Kanon, ici je suis Sawako. Sa-wa-ko, compris ? »

Il n’avait pas intérêt à refaire cette erreur. Sinon pour elle s’en était fini de son boulot bien tranquille. En réalité du haut de ses dix-neuf ans, elle n’avait pas encore l’âge légal pour travailler dans un débit de boisson, alors il avait bien fallut trouver un subterfuge. Et sa fausse carte d’identité au nom de Sawako Kusunoki, vingt-deux ans, en était un des plus efficaces. Reculant d’un pas tout en s’appuyant sur le comptoir, elle se mit à parler plus fort, sur un ton jovial et chaleureux pour être entendue des rares clients :

    ▬« Et voilà un Chimayo cocktail pour monsieur, avec la touche spéciale Sawako, quelle chance ! »

Tandis qu’elle poussait le verre dans la direction du jeune homme, elle eut un petit sourire machiavélique. Ahaha, qu’il ose boire une seule gorgée de son verre, à présent ! Après tout « la touche spéciale Sawako », c’était plutôt louche.

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