Kira n'est pas grande, mais elle n'est pas petite non plus, disons qu'elle de taille moyenne, fine avec des formes quand même, c'est à dire des fesses rondes et fermes et une poitrine ... pareille, ronde et ferme. Elle a une peau plutôt pâle bien que son visage ait bonne mine, avec un joli teint de pêche. La jeune femme possède une longue tignasse rouge sombre, avec une frange droite lui arrivant pile au-dessus des yeux. Des yeux qu'elle a marron/beige. Elle se maquille souvent d'un trait épais d'eye-liner, ainsi qu'une couche généreuse de mascara, le tout accompagné d'un peu de gloss tout juste rosé sur ses lèvres pulpeuses. Pour ses vêtements, Kira adore porter du cuir. Aussi dés qu'elle le peut, c'est ce qu'elle met. Du cuir noir. Sinon, elle s'habille comme toutes les jeunes femmes de son âge: jean, pull simple ou chemise et talons.

Kira Marishka est néE à Moscou, en Russie, pays du froid donc. C'était une enfant voulu, cadette d'une grande famille riche : les Vassiliev. Inutile de dire qu'elle bénéficia d'une enfance aisée, ou elle ne manquait de rien ou presque. L'amour de son père était tout de même un manquement non négligeable, mais ses parents eux, ne voyaient apparemment pas ça du même œil. Ainsi, la fillette eut beau faire des pieds et des mains pour se faire remarquer, seuls les domestiques et sa mère la félicitaient ou la grondait. Et pourtant …
Car oui, contre toute attente, Kira devint une enfant hyperactive, toujours en train de bouger, ou plutôt de courir et de sauter partout. Ca lui valut de nombreux bleus et pas mal de fractures, mais rien n'y fit. Malgré tout ça, ce qui incluait les visites à l'hôpital à chaque nouvelle cascade ou imprudence pour le soigner, son père ne la regardait pas, ou l'ignorait.
L'enfant posa de nombreuses questions autour d'elle, en quête de réponses puisqu'elle n'arrivait à rien seule. Mais, pas même sa mère, personne n'avait de réponses à lui fournir. Alors elle se résigna, et même si elle n'oubliait pas son père absent, sa famille se composait désormais principalement de sa mère, son grand frère et sa petite sœur.
Elle grandit, comme tout les enfants, et se forgea des connaissances et des amis au fur et à mesure des années scolaires. Mais quand, pourtant dans la moyenne, son paternel fit brutalement apparition dans sa vie pour la morigéner sur ses notes, Kira ne comprit plus rien. Elle n'avait que 13 ans, et c'était complètement normal qu'elle soit chamboulée ou tout simplement curieuse. Pourquoi cet homme qui ne lui avait jamais accordé un regard se permettait de lui faire des remarques désobligeantes sur son travail alors qu'il n'y avait rien d'anormal ?
Puis, à la longue, la situation ne changea plus. Dés qu'elle rentrait, c'était toujours des sarcasmes et des critiques. Cette enfant qui réclamait tant son père auparavant voulait maintenant qu'il disparaisse de sa vie.
Mais, avec l'adolescence on le sait bien, ne viennent pas que les bonnes choses. Cette période avait déjà fort mal commencé pour Kira, et ça n'alla pas en s'améliorant. A environ 15 ans, elle rencontra des jeunes gens qui paraissaient sympathiques dans son collège. Ils lui mirent d'ailleurs le grappin dessus et la jeune fille ne s'en plaint pas. Les autres écoutèrent patiemment son histoire lorsque Kira avait besoin de parler. Et malheureusement pour elle, ils utilisèrent ces informations à bon escient. Ils profitèrent de son instabilité émotionnelle pour lui faire découvrir ce qui la ferait basculer dans « le rêve ». Héroïne. Cocaïne. Un peu de beuh pour le goût, et du shit.
Kira ne refusait aucune expérience, et bientôt, son argent de poche, celui « gracieusement » donné par papa, servit à faire grossir les poches des dealers et faire plonger la jeune fille.
C'est triste à 15 ans, de finir endormie dans sa gerbe dans une ruelle vide, le lendemain d'une soirée « consommation ». L'alccol n'était pas vraiment son délire, même si elle y avait déjà goûté. Elle préférait l'état aprés aavoir pris un shoot qu'une cuite à l'apéro.
Evidemment, ça finit par se voir et son père ne put le supporter. Au lieu de tout faire pour guérir sa fille, il préféra protéger la réputation de son nom et envoyer Kira faire ses conneries ailleurs.
Il la condamna donc à l'exil de Russie et lui força la destination de Tokyo, au Japon ou, semble-t-il, il y avait plein de gens comme elle et qu'elle ne serait donc pas dépaysée. Elle prit des cours rapides pour avoir les bases de la langue japonaise et y fût envoyée. Mais comment quelqu'un comme son père aurait pu deviner se qui se passait là-bas avec ce nouveau "jeu"? Il ne le savait pas, et au fond, il a fait le plus beau cadeau à sa fille, mieux que ce qu'elle aurait pu imaginer: une "nouvelle vie" ...
Et dans cette dernière, au cours du commencement, elle découvrit que plusieurs "clans" règnent plus ou moins dans Tokyo. Elle prit le temps d'observer la situation, et elle attendit de rencontrer les bonnes personnes pour rejoindre l'un d'entre eux. Kira choisit les Circus ...