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Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%)



 
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 Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%)

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AuteurMessage


Ryo Miura
SAY MY NAME, SAY MY NAME:
Ryo Miura
HIGH, HIGH, TOUCH THE SKY.
HIGH, HIGH, TOUCH THE SKY.

▌Petits Mensonges : 3
▌Music : Working class hero - John Lennon.
▌Quotes : « Tu me surestimes, j'suis pas le héros auquel tu crois. »



Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%) Vide
MessageSujet: Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%)   Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%) EmptySam 29 Oct - 1:50

Hold 'em Like They Do in Texas Plays...




Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%) 12722096853081_ryo

The Hot Issue

Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%) Enmaiconomfg
F e a t : Enma Kozato
NOM - Miura.
PRÉNOM - Ryo.
ÂGE - 20 ans.
DATE DE NAISSANCE - 23 octobre 1991.
PROFESSION - Étudiant en informatique et technicien hotline.
QUARTIER DE RÉSIDENCE - Sugamo.
GROUPE - Zeroes.

Let You Speechless





The Geek Inside

PSEUDO - Zeck.
ÂGE - 18 ans.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? - Via pleins de partenaires (et ma sœur, entre autre)
DES SUGGESTIONS ? - Nop.
LE CODE - {Amberised}

Sweet Dreams

Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%) FightAgaincopybyjushira
F e a t : Fye Flowright
PSEUDO - Grey.
CLASSE - Wizard.
ARME - Un catalyseur (cf. description)

PRESQUE MOI - Grey, c'est ce à quoi Ryo aurait aimé le plus ressembler. C'est un personnage souriant et avenant, grand et finement musclé, blond et typé Europe du Nord. Sur la peau blanche de son dos : un tatouage d'un noir d'ébène représentant une rune magique ; il s'agit de son catalyseur. Ce que Ryo aime par-dessus tout (chose absolument inutile, cela va sans dire) c'est changer le stuff de Grey : un jour il peut se balader avec un long manteau hivernal et le lendemain avec une tenue steampunk dans les règles.





Could We Fix You If You Broke ?



The Very Bad Reputation

Ryo, si on devait coller ta photo dans le dictionnaire, ce serait sans aucun doute au mot « timidité ». T'es timide, oh ça oui, et dans tous les domaines : en cours, en amitié, en amour. Tu peux pas demander ta baguette à une boulangère sans t'empêcher de rougir ; c'est plus fort que toi : la communication c'est pas ton truc. Si y'a bien une personne a qui il faut offrir « les relations sociales pour les nuls » c'est bien toi ; pourtant t'es pas bien méchant, t'es même carrément la gentillesse incarnée, c'est juste que t'as tellement honte de toi que t'oses pas aller vers les autres. Mais honte de quoi ? T'es en plein dénie total, le reflet que tu crois voir dans la glace n'est pas le tien alors arrête de te rabaisser et va de l'avant. Tu ne vois que tes défauts ; certes ils ne sont pas des moindres, mais t'es quelqu'un de bien. Vois un peu à quel point t'es doux dans ce monde fait de brutalité et combien ton honnêteté est des plus droites. Ta maladresse est-elle si importante pour que tu oublies tout ça ? Mais t'endosses le costume du bouc-émissaire avec une telle résignation qu'on croirait que t'en tires du plaisir, et pourtant intérieurement t'en peux plus de cette vie honteuse. Ta seule échappatoire c'est la fenêtre de ton portable, la Toile t'offre la vie et les amis que tu n'as pas ; mais t'es en plein rêve, la vie n'est pas là. Entends un peu ceux qui te qualifient d’asocial, de bizarre ou de geek dans ton dos : tu crois vraiment que les laisser décider de qui tu es est une bonne chose ? La vie n'est pas comme dans les comics et les bande-dessinées que t'aimes tant lire, il faut que tu réalises un peu ça et que tu sortes de ta bulle. Réveille-toi avant que la vie ne te rattrape.


INDISCRÉTIONS



DIRTY LITTLE SECRET - Son plus grand secret c'est qu'il est Kick Boy, bien sûr. C'est pas vraiment qu'il en a honte mais juste qu'il pense ne pas être à la hauteur pour ce rôle, celui de l'icône qui a fait naître les Zeroes.
SEXUAL ORIENTATION - En fait il ne s'est jamais posé la question (mais j'ai décidé qu'il refoulerait son homosexualité, voilà).
PROJECT - Il compte créer une véritable association d'aide, beaucoup plus organisée que son aide téléphonique actuelle, il veut se sentir utile pour la population en contrepartie de son inefficacité sur sa vie personnelle.
DREAM - C'est un utopiste ; il rêve d'un monde sans violence et sans cruauté, un monde où primeraient la joie et le bonheur sur la pauvreté et la tristesse.
ALWAYS CLOSE - Il a toujours sur lui son téléphone, et il reçoit des appels bien souvent, ainsi que son ordinateur portable. Et puis, au fond de son sac, il y a bien entendu le costume de celui qu'on appelle Kick Boy.
QUOTE - « Tu me surestimes, j'suis pas le héros auquel tu crois. »

BANG BANG: Beautiful & Dirty Rich

Ryo t'aimes pas ton reflet, tu t'imagines affreusement laid et enfin t'oublies qu'avant tout tu es humain. Certes t'es pas bien grand mais t'es charmant : ta peau diaphane accentue la pâleur de ta fragilité mais le rose de tes lèvres te donne des allures de poupée. T'es roux comme pas deux, tes cheveux cuivrés contrastent avec le manque de couleur de ton teint ; tes sourcils flamboyants rendent ton visage expressif et t'en profites même pas. T'as les iris carmines, ton regard est brûlant mais il se brise sur les durs faciès de tes adversaires. T'es pas moche Ryo, t'es même plutôt mignon, alors pourquoi ton regard évite les miroirs ? Ce sont ces bleus et ces blessures qui te font honte, celles que tu tentes désespérément de cacher derrière une ribambelle de sparadraps ? T'as bien l'air idiot avec ce visage à moitié calfeutré, assume-toi un peu et expose ta peine au reste du monde. Tu ne te mets pas en avant avec tes vêtements, tu privilégies les couleurs sobres sur les tenues banales ; t'aimes te fondre dans la masse. Et si tu quittais un peu tes airs de victime pour une allure plus crédible ?




Popped My Heart On My Bubble Dreams...



The Story Of Morning Glory


As soon as you're born they make you feel small

By giving you no time instead of it all

Soudainement sa mère le soulève par les aisselles et s'enfuie dans sa chambre à lui. Ça fait mal mais il n'ose pas le lui dire. Pourquoi va-t-elle dans sa chambre ? Parce que là-bas, tous ses jouets la protégeront du malheur ? C'est ce que pense Ryo ; la nuit, lorsque des cauchemars viennent hanter ses rêves, il construit une muraille de peluches autour de son lit et se réfugie sous sa couette avec une lampe de poche et sa cape de super-héros. Alors seulement il peut espérer pouvoir dormir tranquille.
Mais ce ne sont pas des cauchemars qui font si peur à sa mère – ils ne sortent jamais en plein jour. Ryo comprend seulement la raison de leur fuite lorsqu'il entend la porte d'entrée de la maison claquer. Un mot, un seul, résonne dans son esprit en réveillant en lui la peur qui lui glace le sang même lors des journées d'été. Papa.
Ils arrivent enfin dans sa chambre et Ryo regrette brusquement de ne pas l'avoir un peu mieux rangée. Sa mère ouvre le panier en osier dans lequel il range la plupart de ses jouets et l'y dépose sans douceur. Il s'enfonce avec son aide dans la marée de peluches et de figurines et lorsqu'il voit le couvercle se refermer sur sa tête, il ne peut s'empêcher de gémir doucement :
« Maman...
-Chut Ryo, reste caché ici jusqu'à ce que je vienne te chercher et ne fais pas de bruit. »
Il n'a pas le temps de lui expliquer que d'être enfermé ainsi dans l'obscurité lui fait un peu peur (est-ce qu'il y a des araignées cachées au fond du panier ?) que la porte de sa chambre s'ouvre à la volée (et des cauchemars, est-ce qu'il y a des cauchemars ?) et que son père entre dans sa chambre d'un pas chaloupé mais néanmoins menaçant. Ryo se fige brusquement. Il n'ose plus respirer normalement de peur de se faire prendre.
« Atsuko, où est la voiture que je t'avais dit d'acheter ? »
Caché au fond de son panier et même du haut de ses quatre ans, Ryo comprend que son père n'est pas dans son état normal. L'expression de son visage est effrayante mais ses yeux sont embrumés, et surtout il traîne avec lui cette odeur que Ryo déteste, celle qui lui évoque l'odieuse boisson que son père ingurgite du matin au soir.
« Mais enfin, mon ange, ce n'est pas raisonnable, nous n'avons pas les moyens...
-Les moyens ? Bien sur que nous ne les avons pas, toutes nos économies s'envolent à cause de toi et de ta saleté de progéniture ! Et qu'est-ce qu'il me reste, à moi, hein ? Tu peux me le dire ? »
Boum. Au premier coup, Ryo tressaille violemment au milieu de ses jouets. Il sent un angle dur s'enfoncer dans son mollet engourdi. Il tire l'objet à l'origine de ses douleurs et remonte vers lui sa figurine de Superman. Il la serre dans ses doigts glacés et tentant d'ignorer les coups portés juste derrière la fine paroi en osier. Il se souvient du jour où sa mère la lui a offerte avec un de ses comics. Du revers de la manche, il essuie les larmes qui ruissellent sur ses joues. Il faut qu'il soit fort. Au moins pour sa mère. Il faut qu'il soit fort.
Mais c'est trop tard : il a déjà fait dans son pantalon.



They hurt you at home and they hit you at school

They hate if you're clever and despise a fool

Tout autour de lui s'élève un concert de raclements de chaises. Il s'empresse de ranger ses affaires dans son sac et de sortir de l'amphithéâtre. Heureusement qu'il s'est assis près de la porte de sortie, lui permettant de prendre une certaine longueur d'avance sur les autres. Il file dans les couloirs en se faufilant entre les autres étudiants, faisant soigneusement attention de n'en bousculer aucun. Lorsqu'il franchie la porte menant à l'extérieur, il remonte un peu plus son écharpe en laine afin de contrer le froid mordant de l'hiver.
Une main se pose brusquement sur son épaule, ferme et autoritaire, et quelqu'un l'entraîne à l'écart, derrière des containers à ordures. Il est durement plaqué contre la paroi en fer de l'un d'entre eux et il sent le froid givrant pénétrer ses vêtements. En face de lui, une bande de cinq racailles faisant au moins une tête de plus que lui ; Ryo sait ce qu'ils lui veulent, il n'est pas stupide.
« Alors tête-de-turc, t'as pensé à emporter ce qu'on t'avait dit de prendre ?
-Lâche-moi, tu me fais mal à l'épaule...
-Ta gueule, nabot ! T'as emmener de quoi manger ou de l'argent pour nous payer ?
-J'ai pas les moyens... Désolé, j'ai rien du tout... »
Les doigts serrent si fort son épaule que Ryo sent des larmes lui monter aux yeux.
« Comment ça t'as rien du tout ? On t'avait bien prévenu pourtant : soit tu nous payais une bouffe, soit on te faisait ta fête. Tant pis pour toi, mec. »
Il ferme brusquement les paupières comme si cela pouvait amortir le premier coup. Comme toujours, c'est celui-ci le plus terrible : le premier, promesse d'un long moment de douleur et de honte. Il s'effondre à quatre pattes et tente de se protéger du mieux qu'il peut, mais ce n'est pas suffisant : bien vite il est submergé par la douleur qui irradie tout son corps. Lorsqu'enfin ses agresseurs le laissent pour mort dans la ruelle, il fait face à la souffrance et se relève. Il essuie brièvement le sang qui perle aux coins de ses lèvres et ramasse son sac pour reprendre le chemin de son appartement.
Son téléphone sonne. Mais pas n'importe lequel : celui qu'il utilise pour son travail. Il le sort maladroitement de la poche du revers de sa veste et décroche.
« Allô, Grey ? »
Grey. Son pseudonyme sur Frenesis, mais aussi son nom de bloggeur et d'aide téléphonique. Parce que quitte à ne faire rien pour arranger sa propre situation, autant améliorer celle des autres.
« Oui c'est bien moi. »



A working class hero is something to be

If you want to be a hero well just follow me

Trop. C'est trop. Il n'en peut plus, il craque ; il faut mettre un terme à tout ça. Ces brutes allaient voir ce qu'elles allaient voir, il va leur offrir une jolie frousse. Avant de sortir de chez lui, il s'arrête devant son miroir et contemple son reflet. Sa tenue d'un rouge flamboyant jure un peu avec sa tignasse rouquine, son masque bleu lui donne un air mystérieux et sa cape un côté héroïque. Il est parfait, le frêle Superman qui s'apprête à prendre sa revanche sur la vie.
Dehors l'air est frais : le soir approche et le ciel commence à s'assombrir, laissant apparaître les premières étoiles de la nuit. Il les attend sur leur habituel lieu de rendez-vous ; il s'est tellement fait tabasser à cet endroit qu'il n'a eut aucun mal pour le retrouver. Assis sur un énorme bidon d'huile, il contemple le ciel d'un air rêveur. Et enfin, ils arrivent. Ce soir ils sont trois et le chef de la bande est avec eux. Ryo descend de son bidon et se redresse de toute sa hauteur. D'une voix qu'il veut assurée, il gronde :
« Vous brutalisez les faibles et volez les plus démunis ; la morale vous a quitté au berceau et votre unique force est votre brutalité. Vous allez payer pour vos actes. »
Sa voix fait vibrer sa cage thoracique et ses yeux lancent des éclairs. Il leur donne cinq secondes avant de prendre peur et s'enfuir. Une. Ils restent immobiles. Deux. Ils le fixent avec stupeur. Trois. Ils le toisent de la tête aux pieds. Quatre. Un rictus mauvais se dessine sur le visage du leader. Cinq. Ils éclatent de rire.
« Hé les mecs, regardez moi ce guignol !
-Il sort d'où ce barjo ?
-J'en sais rien, mais il va regretter de s'être foutu de notre gueule. »
Non ! Ça ne devait pas se passer comme ça, il avait prévu qu'ils hurlent de peur et s'enfuient à toutes jambes. Perdant brusquement de sa superbe, Ryo recule des quelques pas en voyant les autres s'approcher de lui avec un sourire menaçant. Il se retrouve le dos collé contre le mur, juste à côté du bidon sur lequel il était assis cinq minutes plus tôt. Dans un acte désespéré, il saisit le bidon et le jette dans leur direction. Le fracas est si assourdissant qu'il fait fuir une bande de chats de gouttières en sifflant et en crachant, se précipitant dans les jambes des trois brutes. Surpris et déstabilisé, l'un d'eux n'arrive pas à éviter le bidon roulant à temps et se prend les pieds dedans, tombant à la renverse en entraînant son voisin le plus proche. Ryo saisit l'occasion pour attraper son sac et le balancer de toutes ses forces sur celui encore debout. Il réussit à le toucher en plein visage, lui arrachant un cri de douleur et le faisant reculer de plusieurs pas, son nez ruisselant de sang. Ryo ne perd pas une seconde pour s'éloigner en courant, et avant de s'enfuir il s'exclame :
« Je vous avez prévenu ; vous ne m'avez pas écouté. Arrêtez vos délits, ou la prochaine fois ce sera bien plus douloureux. »
Et il se laisse glisser le long de l'échelle, redescendant du toit qui sert de repère aux truands.
Lorsqu'il arrive chez lui, il verrouille à double tour la porte d'entrée et accroche la chaîne de sécurité. Il a eu si peur que ses mains sont blanches et tremblantes et qu'il s'est mis à pleurer sans s'en rendre compte sur le chemin du retour. Il hôte son costume avec des gestes précipités et se rut dans la salle de bain pour prendre une douche brûlante. Épuisé comme jamais, il se couche pour se purger de toutes ses émotions.
Le lendemain à son réveil, il se sent étrangement bien malgré le fait qu'il ait dormi jusque tard dans l'après-midi. Après un bref petit déjeuner, il allume son ordinateur portable pour surfer sur la Toile. C'est en se connectant à son blog qu'il voit au n°1 des classements un « blog dédié à Kick Boy, le héros contemporain de Tokyo ». Intrigué, il clique sur le lien et la page s'ouvre ; le blog n'a même pas 24 heures et il a déjà recueilli un nombre impressionnant d'auditeurs et d'abonnés. Pourtant il n'y a qu'un seul article faisant l'éloge d'un super-héros dénommé Kick Boy et accompagné d'une vidéo postée sur YouTube. Sur l'image de preview, Ryo croit reconnaître le lieu où la vidéo a été filmée. Un doute s'installe en lui lorsqu'il clique sur le bouton démarrer. Et alors il voit. Les trois truands. Le bidon d'huile. Les chats. Le sac. Et le héros, vêtu de rouge et d'un bandeau et une cape bleus. Lui. Ryo Miura. Grey. Kick Boy.
Il s'est mis dans de beaux draps.


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Kanon Masukawa
SAY MY NAME, SAY MY NAME:
Kanon Masukawa
HEART MIND & SOUL.
HEART MIND & SOUL.

▌Petits Mensonges : 328
▌Music : FICTION ♛ BEAST
▌Quotes : A philosopher once asked, -Are we human because we gaze at the stars or do we gaze at the stars because we are human?- Pointless really. Do the stars gaze back? Now that's a question.

Got a Secret ;
■Pseudo : T s u b a s a.
■Classe Sur Frenesis: Acolyte



Got a Secret ;
■Pseudo : T s u b a s a.
■Classe Sur Frenesis: Acolyte

Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%) Vide
MessageSujet: Re: Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%)   Ryo Miura – Il n'y a pas de héros sans auditoire. (100%) EmptySam 29 Oct - 15:54

Jolie fiche petit zeroes qui deviendra grand 8D /PAN/

Je valide, bienvenue à Tokyo & j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous *v*
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