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Liam Fowl



 
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 Liam Fowl

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Liam Fowl
SAY MY NAME, SAY MY NAME:
Liam Fowl
THIS IS BLACK PARADE.
THIS IS BLACK PARADE.

▌Petits Mensonges : 5



Liam Fowl Vide
MessageSujet: Liam Fowl   Liam Fowl EmptySam 12 Nov - 1:24



Hold 'em Like They Do in Texas Plays...




The Hot Issue

Liam Fowl URL DE L'ICON
F e a t : NOM DU PERSONNAGE
NOM - Fowl
PRÉNOM - Liam
ÂGE - Presque 25 ans.
DATE DE NAISSANCE - 28 Janvier
PROFESSION -
Liam est officiellement une sorte de catalogue humain pour un magasin de « divertissements » à Toshima, en gros c’est le mec à qui vous venez demander si il reste tel ou tel bouquin, jeu, film et qui regarde sur l’ordinateur pour vous répondre, sauf que pour avoir plus la classe lui il utilise pas de PC… Et il travaille officieusement pour Circus, en tant que liaison entre les membres (venir chercher tel objet, apporter tel objet, transmettre telle information qui par sécurité ne peut pas l’être de manière informatisée), également en tant que recouvreur de dettes pour certains participant du Liar Game, mais surtout en tant que récolteur d’informations, le plus souvent des informations sur Circus qui peuvent parfois filtrer sur le net. Les hackeurs détruisent les infos sur le net, et Liam va voir la personne pour lui demander tout ce qu’il sait, qui d’autre le sait, et si des exemplaires papiers existent (le plus souvent cette question est posée avec la personne attachée sur une table et Liam avec divers objets tranchants en main.)

QUARTIER DE RÉSIDENCE - Un grand appart totalement pourri dans la zone la plus mal famée de Sugamo
GROUPE - Circus

Let You Speechless





The Geek Inside

PSEUDO - Al
ÂGE - 20
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? – Grâce à Sato
DES SUGGESTIONS ? - Non
LE CODE – Liar, Liar

Sweet Dreams

Liam Fowl URL DE L'ICON
VOTRE AVATAR SUR FRENESIS
PSEUDO - ÉCRIRE ICI
CLASSE - ÉCRIRE ICI
ARME - ÉCRIRE ICI

PRESQUE MOI - Liam ne joue pas (encore) à ce jeu, bien qu’il en ai souvent entendu parler et qu’il le tente.





Could We Fix You If You Broke ?



BANG BANG: Beautiful & Dirty Rich


« Comment décrire le jeune Fowl ? Un visage fin, bien taillé, curieusement adolescent malgré son âge adulte, entouré de plusieurs mèches noires lui arrivant jusqu’aux épaules. Deux beaux yeux bleus qui ont souvent tendances à tout scruter et détailler. Un sourire « Colgate » avec de belles dents blanches bien taillées et alignées, que certaines personnes pourraient qualifier de « charmeur ». Repérable de loin, très loin, grâce à sa taille improbable, surtout au japon, puisqu’il avoisine les 2 mètres 10. Provoquant quelques réactions quand il parle aussi, à cause d’un accent un peu étrange témoignant, comme si son nom ne suffisait pas, qu’il était un étranger, et même « un gaijin » dans ce pays. Habillé de chemises simples, de cravates, de jeans, y a qu’avec ses deux grosses rangers noires exhibant des crânes sur les pointes qu’on se dit que le jeun homme que l’on embauche pour divers travaux n’est pas si sage et passe-partout qu’il n’y parrait… Enfin on se dit ça avec les bottes, et après on se rappelle aussi qu’il vient en grosse moto et en veste en cuir et est adeptes d’étranges blagues à connotations graveleuses… »

« Comment décrire le sale punk qui se balade chez les trois quarts de ceux liés à Circus pour venir chercher ou leur apporter quelque chose ? C’te grande asperge aux tifs colorés, souvent en bleus ou en rouge, coiffé d’une manière improbable, remontés en un palmier vers l’arrière ce qui lui fait donne une foutue tête d’ananas. En plus, il a quoi ? 18-20 ans ? Circus recrute au jardin d’enfance, en plus des enfants qui se la jouent, quand on le voit avec ses vêtements en cuirs et ses T-shirt de rock des années 2000, ses chaines sur ses jeans, sa ceinture avec une boucle à crane. De grosses boots noires, des boucles d’oreilles, des clopes sans filtres qui ont l’air de dégager plus de nicotine à elles toute seule qu’un paquet classique vendu dans le commerce. Qui se balade toujours en grosse cylindrée, à tendance à sortir des couteaux de n’importe où façon tour de magie et avec ses deux yeux flippants, un rouge et un bleu qui vous regardent comme si ils voyaient déjà comment vous allez vous faire découper. Je peux vous le décrire, mais je veux plus croiser ce malade ! »

Et maintenant ? C’est vraiment si simple de faire le lien entre ses deux personnes et de comprendre qu’ils sont en réalité la même ? Vraiment ? Maintenant il faudrait réussir à le prouver.



INDISCRÉTIONS



DIRTY LITTLE SECRET - A part son coté « vrai » psycho ? C’est un « bon ami », vu qu’il s’en tape il est prêt à saute à pied joints dans la merde pour aider quelqu’un qu’il connait, c’est le genre de type à venir à 4h du mat si vous avez un problème, en râlant, mais il vient quand même. Mais chut, faut pas le dire, il tient à sa réputation.
SEXUAL ORIENTATION - Abstinent de préférence, Hétéro quand son cerveau lui hurle trop fort d’aller enfin s’envoyer en l’air.
PROJECT - Aucun
DREAM - Aucun non plus
ALWAYS CLOSE - Ses clopes, son briquet, des stylos, parfois « modifiés » pour servir d’arme (riez pas, c’est à cause de cette réaction que vous comprenez pas quand ils se retrouvent enfoncés dans votre gorge)
QUOTE - « Oh nan c’trop chiant, la flemme » ; « j’ai quelques questions à vous poser… »

« Les hommes naissent libres et égaux en droit… Après ils se démerdent. » (Jean Yanne)

The Very Bad Reputation

Liam est un garçon des plus spécial, déjà parce que tout de lui, ce que vous pouvez voir, ce qu’il vous dit, ce qu’on vous dit, ou presque, est totalement faux, c’est donc extrêmement difficile de savoir ce qu’on peut croire sur lui. Il cultive le mensonge par jeu, mais aussi, et surtout, parce qu’il ne veut pas vraiment qu’on sache qui il est en réalité. Bon, déjà il ne faut pas croire les dires qui le dépeignent tel un monstre sanguinaire et sadique, pas tout le temps, Liam ne tue pas au hasard, il tue quand il en a besoin, il tue ses adversaires, pas n’importe qui sur son chemin. Qu’il le fasse avec un sourire ou un visage triste, n’y faites pas attention. En réalité il s’en fiche complètement. L’humanité est pourrie, une mort de plus ou de moins ne change rien. Et il vaut mieux rire que pleurer car il vaut mieux être considérer comme un fou que comme un faible. Il inspire la peur parce qu’il l’a décidé, pas parce qu’il est vraiment effrayant. Il est pire, il est en marge. Indifférent à ce qu’il l’entoure sauf à la musique, aux challenges, qu’il adore et recherche plus que tout, et aussi et surtout à sa liberté et a celle des autres. Les cages le révulsent et il ne pardonne pas à ceux qui balancent quelque chose dedans, une personne ou un animal, un ver ou une femme. Pour lui il n’y a aucune différence. La cage est le problème, et ses anciens amis tentent de transformer le monde en une cage dont eux seuls auraient les clefs, voila pourquoi il les affrontera, pour la liberté, des autres ou la sienne, que les autres le sachent ou non. Il en faut un pour le faire, il le fera, pour un quelconque idéal, parce qu’il n’avait rien d’autre à faire le midi ou il a décidé cela, peu importe, dites vous qu’il le fera, c’est déjà bien pour vous. Ne cherchez pas à comprendre comment il marche, comment il pense, a quoi ni de quelle façon. Vous n’y arriverez jamais. Personne ne le peut. Ceux qu’il considère comme ses amis le savent et le respectent mais lui font quand même confiance, voila pourquoi ils sont ses amis, eux aussi en marge de la société lambda dans une certaine mesure, un point commun qui les rassembles et les fédèrent, même si leurs objectifs sont différents, leurs personnalités ne le sont pas forcément. Il n’y a pas tant de différence que sa entre son premier et son second groupe d’amis. Mais lui qui est si indifférent, serait-il possible que l’affection, le sourire, l’éclat de rire, les blagues, l’instinct de protéger ses amis. Tout cela soit une nouvelle façade, juste pour cacher qu’il ne les considère pas comme tel ? Ou alors c’est vrai ? Ou alors c’est une façade, une façade de solitude, penser qu’il utilise ses amis en façade pour leur cacher qu’il est seul afin de lui-même se voiler la face et de ne pas accepter que ses sentiments pour tout ses amis sont réels ? Personne ne peut le savoir, ni moi, ni vous, ni lui. Pensez ce que vous voulez, décoder comme cela vous chante, vous serez toujours loin de la vérité. L’esprit est un labyrinthe, parfois il y a plein de tournant, un chemin très long, mais au final vous vous rendez compte que ce n’est qu’une seule ligne tracée sans lever la main et facile a suivre. Parfois il y a des bifurquassions, des pans fermés, des portes, des ramifications. Celui de monsieur Fowl est une chose à plusieurs étages, avec des ramifications a chaque tournant, des murs qui ne mènent nulle part, des portes a tout les murs, des murs inversés, tordus, tournés dans tout les sens, des portes qui mènent a d’autres portes et qui sont verrouillées quand on veut faire demi tour, ou emmènent encore ailleurs. Ne tentez pas de comprendre, n’entrez pas, vous ne ferez que déambuler encore et encore jusqu'à oublié votre but et sombrer dans l’obscurité et la folie, dans la solitude et la lucidité absolue, avec le regard de celui qui ne peut allez nulle part, toujours a l’extérieur, qui ne fait que regarder, sans juger, mais en notant, sans pouvoir participer réellement. Le menteur par excellence, la non-implication, la marge forcée qui se conduit par la plus grande solitude et le regard le plus noir sur tout le monde, désabusé, ne voyant que les travers depuis l’extérieur mais étant incapable d’allez a l’intérieur et de voir les bons points. Bienvenue dans son monde. Mais vous ne sortirez plus jamais. Contemplez les larmes, le sang, la guerre, la mort, la maladie, la famine, la destruction ? Voyez, notez mais restez dans l’impossibilité de vos impliquez, de consoler, d’aimer, même si vous pensez le faire. Accumulez les façades, devenez l’acteur parfait et mourrez seuls et fous. Abandonnez tout espoir vous qui pénétrez ici car cet esprit noir n’est plus que pure folie.





Popped My Heart On My Bubble Dreams...



The Story Of Morning Glory


L’histoire de Liam est à la fois cliché et inédite, une sorte de Frankenstein entre le bon fils de famille et l’Oliver Twist maltraité et condamné à vivre seul et pauvre dans les rues. Tout dépend de l’époque, du point de vue utilisé, et de savoir qui la raconte (ben oui, vous avez oubliés ? Liam raconte que des craques sur lui, si c’est lui qui vous en parles, on va vite tomber dans le mélodrame improbable, croyez moi).

Pour le connaitre un peu, il faut voir quelques années avant sa naissance, 5 ans avant pour être précis : sa mère, jeune femme française est partie pour ses études de droit aux États-Unis et y a rencontrée papa Fowl, jeune militaire de profession. S’ensuivit nombreux rendez-vous, flirts, coucheries, etc etc, conduisant au mariage, et, un an après, la naissance du petit Liam.

Son enfance fut assez secouée par les déménagements nombreux (minimum un par an) dû au travail de son père. Hébergé dans une base militaire, trop souvent déplacé. Ayant montré depuis ses deux ans une maladie mentale dont Liam souffre toujours actuellement et qui lui pose encore quelques problèmes dans sa vie, mais qui lui a surtout value de nombreux coups durant son enfance : l’hypermnésie, soit l’incapacité d’oublier quoi que ce soit, chaque seconde de sa vie est un élément enregistré dans son cerveau, le poussant à devoir compiler, enregistrer, classer dans sa mémoire tout ce qu’il voit, sens, entends à longueur de journée et donc l’oblige à constamment réfléchir, sur tout et n’importe quoi, à chaque secondes de sa vie.


Cette maladie lui fut pratique pour certaines choses, sérieusement, retenir tous vous cours juste en les lisant ? Ou mieux, en écoutant le prof les réciter pendant que vous somnoler sur votre table ? Si c’est pas l’pied ça ! Vous n’avez pas idée à quel point il suffit de ça pour ne pas avoir besoin d’aller en cours, ou presque durant tout le primaire et le collège, en fait il suffit d’avoir appris à lire et à écrire, tout le reste c’est juste des choses à retenir. A comprendre aussi certes, mais il suffit d’avoir quelques neurones qui marchent pour ça, après tout l’avoir dans la tête aide énormément, c’est comme si vous aviez vos cahiers pour lire votre cours et faire vos exercices dans votre tête. Le plus simple, et en même temps le plus compliqué étant pour les langues, si il était capable de retenir l’intonation et l’écriture des langues étrangères, il lui suffisait d’avoir un prof avec un accent totalement différent et il se retrouvait largué pour quelques temps.

Cette particularité le fit rapidement passer du système scolaire normal (pour lequel il était clairement inadapté, n’arrivant pas à claquer son rythme sur celui des autres enfants, puisqu’un coup avancé, retenant plus vite, et un coup totalement en retard, la maladie l’obligeant à toujours classifier et cataloguer toutes les informations, et surtout accaparant son attention sur à peu près tout ce qui existe autour de lui, et pas uniquement le cours du professeur) à celui à la maison, par professeurs particuliers et correspondance, montrant de bons résultats, quelque peu aidé, surtout au niveau des notes, par sa mémoire absolue.

Le garçon ne trouva de « réconfort » à sa solitude et à ces changements (bien qu’ils ne le déprimaient pas du tout, prouvant déjà son coté asocial notoire) que dans les livres, les jeux vidéo et la musique. Se nourrissant dés son plus jeune âge des CD de son père qui, bien qu’il ne l’aimait pas, avait un sacré bon goût musical, contrairement à la musique électronique passant à la télé et à la radio.

L’hypermnésie lui servit également en sport, puisqu’il lui suffisait de voir un mouvement pour le reproduire. Ce qui nous amène à la pire partie de sa vie : son père, plutôt de d’y voir une opportunité en matière d’études, y vit une opportunité militaire : la possibilité d’entrainer son fils à tout ce qu’il avait appris de manière rapide, et 100% efficace ce qui était en théorie le cas : avant ses 10 ans Liam avait en tête presque 90% des méthodes, entrainements et protocoles d’action des forcés spéciales et des militaires américains.

Mais en pratique, le père de Liam, tout dans sa fierté d’avoir un fils capable de retenir comment désarmer un assaillant hostile armé d’une lame et de reproduire parfaitement les gestes en une minute, et d’un certain excès d’alcool, avait aussi tendance à oublier qu’un enfant de 10 ans, même si il connait la théorie, n’as pas le corps assez bâti pour réussir ces mouvements sur un homme de 35-40 ans, résultant de nombreux « avalages de sol » et de saignements et bleus divers et variés sur son corps, s’ajoutant à ça les brimades et les déceptions que son père lui faisait bien comprendre, il ne fallut pas beaucoup d’années à Liam pour haïr son géniteur.

Lors de ses 15 ans, Liam fit quelque chose qui changea pour ainsi dire toute sa vie : détestant son père, ses « leçons » et son penchant pour la boisson Irlandaise, et souhaitant maintenant voyager, découvrir le monde, cesser d’être toujours entourés de militaires ou d’adultes afin de s’amuser, à sa manière, il décida purement et simplement de s’enfuir, il réfléchit pendant 2 mois à cette idée, pesant le pour et le contre, faisant et défaisant son sac à chaque fois qu’il changeait d’avis.

Il prit sa décision un jour où sa mère était sortie et où son père, après un verre de trop décida de « s’entrainer » avec le fils. Ralenti par l’alcool le père Fowl se fit surpasser par son enfant qui réussit à le mettre à terre. Habituellement assez vexé, mais plutôt fier de cette performance les très rares fois où elle se produisait, il félicitait son fils, cette fois ci, la fierté encouragée par l’alcool, son poing se referma et percuta la mâchoire de l’adolescent qui venait l’aider à se relever. Après un simple regard et un commentaire désobligeant sur la faiblesse de son fil, il partit, laissant Liam assit sur le sol, la main sur sa lèvre inférieure grande ouverte pour empêcher le sang de trop s’écouler. Il resta ainsi une heure, puis deux, puis il se leva, pris le fameux sac qui remplissait puis vidait depuis 2 mois, la lettre qu’il avait écrit pour sa mère au cas où il aurait enfin le courage de partir, et aussi l’hypocrisie et l’insouciance de la laisser seule avec quelqu’un qui n’avait pas de problèmes pour frapper un enfant. Il posa la lettre sur la table de leur salon, il ouvrit la porte, le sac dans la main, un sourire et une excuse de chute pour tous ceux qu’il croisait et connaissait. Et il ne vit plus jamais en face ses deux parents.

Il voyagea 3 ans, vit de nombreuses villes et de nombreux pays, tous différents, tous semblables. Pourris par les grands, non combattus par les petits, qui ne cherchent qu’à grandir et à pourrir encore plus que les autres. Il travailla même quelques mois dans un cirque, en tant qu’aide extérieure principalement, mais il y apprit des choses qu’il aime encore utiliser en grand nombre aujourd’hui : des tours de magie, dont il a toujours été friand. Malgré son coté nomade, il envoya chaque semaine une lettre à sa mère, le fait de constamment se déplacer l’empêchait de recevoir une réponse, ce qui était pour lui bien mieux comme ça, raison pour laquelle il n’utilisait pas de mails.

Liam décida de rentrer en France à 18 ans, enfin majeur, il trouva un petit studio en province, un simple travail, s’inscrit en tant que candidat libre au baccalauréat, et se mit à travailler son examen grâce aux livre et à internet. N’étant pas plus bête qu’un autre et étant toujours aidé par sa capacité à tout retenir, environ une année de travail facilement qualifiable d’acharnée lui permit de l’obtenir assez facilement à l’examen. Quand il se décida enfin de reprendre contact avec ses parents, au moins pour les revoir une fois de plus, il apprit que sa mère, malade, était morte depuis environ deux ans. Certains auteurs mélodramatiques pourraient dire que le chagrin de la disparition de son fils l’avait abattue, d’autres préférant le polar insinueraient que c’était plutôt des poings conjugaux qui avaient eu raison d’elle. Liam s’en fichait, le simple fait qu’elle soit morte lui suffisait, pour lui revoir ses parents c’était revoir sa mère, pas son père. Il décora la tombe de sa génitrice et se décida à repartir, définitivement cette fois. Il chercha un pays dans lequel il n’était pas allé, et eu un raisonnement digne de tout jeune homme occidental de son temps : le Japon, pays des jeux vidéos, des mangas et des innovations technologiques, donc pays trop cool, donc « je veux trop y alleeeerrr ».

La 1ere année au Japon fut la plus dure, pas beaucoup d’argent, même si le taux de change lui était très bénéfique, pas vraiment de grandes qualifications donc pas si facile de trouver du boulot, et même si sa mémoire lui était extrêmement utile pour l’apprentissage des langues étrangères, les 1ers mois il n’avait pas vraiment un niveau totalement adéquat en japonais pour que la recherche d’un travail soit un peu améliorée… D’ailleurs même après 5 ans au Japon, il avait toujours un léger accent français qui faisait encore réagir quelques personnes. Il trouva un appart plutôt grand, à Sugamo, le voisinage permettant un loyer des plus compétitifs malgré une surface habitable plus que correcte, voisinage qui le laissa relativement tranquille lorsqu’il brisa la main du 1er Dealer qui avait voulu le dépouiller avec son couteau.

Liam trouva un boulot dans un grand magasin spécialisé dans les loisirs, surtout audiovisuels, en tant que sorte de banque de donnée interactive puisqu’il faisait le travail de l’ordinateur pour dire si tel ou tel article était encore disponible et où il se trouvait, le sourire charmeur en plus évidemment. Il étancha aussi sa soif d’informations et de connaissances grâce encore et toujours à internet, mais aussi au système d’auditeur libre de l’école, qui, moyennant finance, ouvre aux gens non inscrits certains de ses cours magistraux, sans possibilité d’être diplômé évidemment, mais permettant un élargissement de la culture personnelle. Liam devint assez remarqué par certaines personnes, étant présent à un nombre de cours impressionnant, mais surtout totalement différents, il faisait une sorte de roulement entre tous les cours ouverts, comme si le simple fait d’apprendre en masse l’intéressait (ce qui était en gros le cas d’ailleurs). L’une des personnes qui le remarqua et avec qui il sympathisa devint une personne très importante, pour son futur proche, et également, avec beaucoup d’espérances, pour son futur lointain : Takeshi Satoru

La personne qu’il a suivit durant 4 ans, depuis le début de Circus jusqu’à ce que l’organisation est maintenant. La seule personne qui sait que Liam se fiche de tout, qu’il joue un rôle constant, qu’il préfère être le fou qui rit devant les films d’horreur que l’anormal qui s’endors devant comme si rien ne se passait, la véritable psychopathie clinique, l’absence d’émotions, la seule recherche du challenge. La seule personne qui lui proposa le vrai challenge, l’ultime, le seul qui en vaille la peine, car impossible à réaliser : changer le monde, le recréer totalement, crée de toute pièce un vrai royaume répondant à des critères choisis.

Parfois Liam se prends à penser que sans ces confessions mutuelles, il aurait bien pu être chez ceux qui sont partis, ou chez les Yakusas, ou même chez le Police à chercher le challenge d’arrêter et de démanteler tous les autres fous. Liam n’as pas d’idéaux, il veut juste se dépasser, réaliser tout ce qui est impossible, voir si il a des limites, et ça, tous les camps de Tokyo le proposent. Pourtant il n’as jamais pensé à quitter Circus, ces membres, son chef, son travail, son obligation de tout vérifier, tout nettoyer, toujours sourire étrangement, toujours faire des blagues cyniques, être en 1ere ligne avec juste une absence de lentille, une nouvelle coiffure et une teinture pour seule protection contre les ¾ des membres de Circus qui l’ont déjà vu, même sans savoir qu’il était plus ou moins haut placés qu’ils pouvaient le penser et donc peuvent le dénoncer si ils se font un jour attraper. Toutes ces choses sont bien trop amusantes pour accepter de partir. Malgré tout ce qu’on peut trouver dehors.







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