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Le vent me pousse, me fait respirer et me rassure... [Ryo] [SN - ARCHIVE]



 
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 Le vent me pousse, me fait respirer et me rassure... [Ryo] [SN - ARCHIVE]

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Fubuki Toriiwa
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Fubuki Toriiwa
DARKER THAN BLACK.
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▌Petits Mensonges : 49
▌Music : La Chanson du Dimanche ^^



Le vent me pousse, me fait respirer et me rassure... [Ryo] [SN - ARCHIVE] Vide
MessageSujet: Le vent me pousse, me fait respirer et me rassure... [Ryo] [SN - ARCHIVE]   Le vent me pousse, me fait respirer et me rassure... [Ryo] [SN - ARCHIVE] EmptySam 29 Oct - 21:30

    Fubuki Toriiwa & Ryo Miura
    « La nature est ancienne mais nous surprend tous. »


    Au levé du soleil, Fubuki se réveilla le premier, il s'assit le temps d'une heure sur la terrasse de son logis et contempla les horizons, aujourd'hui il allait faire chaud, en tout cas dans cette zone-ci, pas un nuages ne flottait dans le ciel, seul le soleil était présent accompagné de cette douce brise qui n'en finissait plus depuis trois jours. Ce n'était pas pour gêner le jeune homme, désirant une brise pour bien travailler sur ses essais de pièces. Il soupira puis se releva en titubant légèrement avant de se diriger vers la porte d'entrée (ou plutôt de sortie dans l'état actuel des choses) et l'ouvrit, les yeux blasés. Son serviteur accouru surpris que le patron se lève aussi tôt, ce n'était pas ses habitudes, sûr. Il lui demande ce qu'il allait faire de si tôt avec un grand sourire. Il était heureux de voir un tel sérieux. Il regretta aussitôt cette expression lorsque l'ancien acteur lui répondit froidement qu'il allait à son bureau, travailler. C'est vrai qu'on ai heureux que les gens se lève mais avec Fubuki, il fallait en échange accepter sa mauvaise humeur.

    Il était assez tard ce matin la, le soleil était présent depuis longtemps maintenant une brise légère venait adoucir les coups que celui-ci donnait sur la peau des passants. N'avez pas d'autre chose à demandé quelle heure il est puisque je n'en ai aucune idée moi ! Surtout qu'en cet instant, il est utile de s’arrêter sur notre héros. Et quel héros ! Un homme de tout ce qu'il y a de plus rêveur et entêté. Mais qu'est ce qu'on l'embête à le croire fainéant dès qu'il sort un instant. Après tout il en avait le droit de se promener, il était resté pencher sur un bloc de feuille toute la journée. Un petit bol d'air lui ferait le plus grand bien.

    L'air était doux. Il faisait ni trop chaud, ni trop froid et le vent était d'une douceur. Cette petite brise était si agréable et on en oubliait presque qu'on était en fin de printemps. Les parcs de Tokyo constituent un refuge, loin du bruit de la ville. Mais où pouvaient ils être là maintenant ? Son coup d'œil à droite puis à gauche ne le rassura pas quand à sa position dans cette ville qu'il connaissait certes, mais point assez pour se repérer. Surtout que ses talents d'orientation sont comment dire... presque nuls. Vertige, souffle haletant, vision trouble... Ou quels sont les signes montrant à quel point le dramaturge supportait mal la foule en cet instant. Il fuyait, cherchant à s'éloigner le plus possible de la rumeur assourdissante de ce trop plein de vie qu'il venait de quitter pour trouver quelque part la quiétude d'une solitude qui lui était nécessaire. Il n'entendait que des voix lointaines, hachées par la distance qui le séparait de l'agitation. Il fallait vite qu'il trouve ces endroits calmes tant recherchés. Finalement le voilà arriver, en passant par un chemin de gravier, dans les jardins Hama-Rikyu.

    Une douce lueur, un odeur agréable... Qu'est ce que cela pouvait bien être? Notre héros ouvrit délicatement son œil gauche pour apercevoir que la fenêtre était ouverte et qu'un rayon de soleil venait caresser son visage aux traits fins. L'odeur elle, était celle de l'été, oui, l'été à souvent des choses merveilleuses à nous offrir tout le long de cette saison. Beau temps, bonne humeur, végétation, balade en famille, nourriture excellente... Aujourd'hui était la journée parfaite pour sortir de chez soi. C'était bien ce que pensait l'homme aux regard sombre. Lorsqu'il habitait dans ce manoir, il sortait tous les jours ensoleillés dehors, dans leurs jardins. D'immenses jardins sans fin, donc le calme reposant laissait percevoir une tentation de sieste et un zeste de fraîcheur qui régnait à l'intérieur. Les parterres parsemés de roses, ainsi qu'autre coquelicots et tulipes, il aimait comme toutes jeunes aristocrates, aller réfléchir et songer à des rimes de poèmes avec en accompagnement le vent qui soufflait sur les oreilles. Une habitude et une envie dont il ne peut se détacher. Alors c'est naturellement que devant un soleil aussi radieux, il eut l'idée de quitter sa chambre pour ainsi se reposer en dessous des rayons de soleil. Fubuki ne se pria pas pour ses affaires. En tant normal, il aurait dut mettre des vêtements voyant pour se démarquer malgré son statut peu élevé et son arrivée récente. Mais il n'en fit rien pour cette fois-ci. Le jeune homme porta plutôt son choix sur des habits plus communs. C'est ainsi qu'il portait sur son dos une chemise blanc cassé ainsi qu'un pantalon chocolat avec un foulard fin noir enroulé autour de son cou, les pieds fourrés dans des chaussures de cuir noir. Pour avoir de chics habits il fallait passer des heureux à faire des achats dans des commerces de vêtements. "du shopping", du shopping. Voilà de quoi occuper une personne pendant un certain temps. Mais, non, Fubuki n'aime pas passer des heures devant les habits à devoir trouver l'idéal pour couvrir de nombreux idéaux et des attentes des partenaires commerciaux et sociaux. Pour lui, c'est plus une corvée qu'autre chose. Mais il faut bien s'habiller. C'est même essentiel. Les gens sont toujours jugés sur ce qu'ils portent, comment ils sont coiffés, maquillés. Quelle idiotie. Mais quoi qu'il en soit, il était fin prêt à sortir.

    L'air était doux. Il faisait ni trop chaud, ni trop froid et le vent était d'une douceur. Cette petite brise était si agréable et on en oubliait presque qu'on était en fin de printemps. Les parcs de Londres constituent un refuge, loin du bruit de la ville. Mais où pouvaient ils être là maintenant ? Son coup d'œil à droite puis à gauche ne le rassura pas quand à sa position dans cette ville qu'il ne connaissait que peu... Il n'entendait que des voix lointaines, hachées par la distance qui le séparait de l'agitation. Il fallait vite qu'il trouve ces endroits calmes tant recherchés. Enfin il parvint au parc qui l'avait accueillit lors de ses premières secondes. Un souffle parcourait les plaines. Une brise de fraicheur qui s’emparait du paysage. Les herbes hautes des verts pâturages dansaient dans le vent. La lumière se reflétait sur la végétation chlorophyllienne. C’était magnifique, le panorama brillait de milles feux. Accueillant n’importe qui à divaguer dans cet océan de magnificence naturelle. Toutes personnes sensibles à cela se seraient élancées pour courir à travers les plaines. Perdu autour de tous ces champs, seule une habitation se dégageait des pâturages qui devaient accueillir bon nombre de bétail. Un parfum de fleurs des champs et d’herbes parfumées se faisaient sentir dans l’air pur. C’était si éloigné de la ville, de la pollution, et des cris étouffants de la métropole. C’est vrai que l’atmosphère était assez accablante lorsqu’on y demeurait en permanence. Les voitures, les longs buildings, les magasins, les cris, la foule… C’était éreintant. Quel bonheur de profiter de cette tranquillité, de ce silence. Seule la compagnie du vent comblait la solitude ici.

    La Terre vue du ciel est quelque chose d'extraordinaire. Sauf que ce n'est pas donné à tout le monde. Seuls les oiseaux peuvent la voir constamment ainsi. Les humains aussi, d'une certaine manière, quand ils prennent l'avion. Mais ce n'est pas pareil. Parce qu'ils n'ont d'ailes, eux. Ils ne sentent pas le vent fouetter leur visage, en plein vol. Ils n'ont pas cette sensation de vitesse et de liberté. Ils n'ont pas le privilège de respirer l'air pur haut dans le ciel, loin de la pollution des villes. Ils ne se sentent pas légers et puissants. Non, la plupart du temps, quand les humains prennent l'avion, ils admirent un peu les nuages par leur hublot puis dorment le reste du voyage. Pas d'effort, donc pas de récompense. Logique. Mais on ne peut pas leur en vouloir. Ce ne sont pas des oiseaux. Fubuki est un humain certes mais un humain qui a apprit à voler. Il n'a pas d'ailes mais pourtant quand il rêve, son corps est transporter dans des lieux paisibles qu'il voudrait pouvoir visiter en douce compagnie... Voilà pourquoi il cherche ces lieux où nature et paix vivent en harmonie.

    Enfin dans un endroit vide de monde et à l’écart du chemin de randonnée, Fubuki entreprend de descendre assez maladroitement de son pied d'estale. Le matin rien de meilleur qu'un petite ballade dans l'herbe fraiche n'est ce pas ? Jetant ses chaussures dans un coin, il commence à marcher en direction du soleil levant. Ah le soleil levant! Vous savez quoi je pense qu'il n'y a rien de mieux qu'un lever de soleil! Ou alors peut-être le chatouillement de l'herbe sur ses chevilles et l'humidité de la rosée sous ses pieds nus. C'est vrai qu'il y a beaucoup de choses que géniales dans ce monde! Toute cette joie dès le réveil donne l'envie soudaine à notre curieux fou de courir, de courir si vite qu'il pourrait s'envoler au loin. Et c'est ce qu'il fit. Il courrait de plus en plus vite et pris par un élan d'allégresse (ou de folie à vous de voir). Ce qui était bien avec ses habits, c'était que l'on pouvait le penser comme simple jeune homme de la ville alors un jeune homme qui court dans les parcs n'est pas considéré comme alarmant tant qu'il n'a pas l'idée de donner son statut social. Maintenant que son quart d'heure de 'je ne fais que des bêtises, des bêtises quand t'es pas là' était passé, il alla s'appuyer sur un gros tronc pour souffler un peu. C'est là qu'il aperçu une personne face à lui. A peine avait-il eu le temps de porter son regard à la personne ici présente, que déjà la nouvelle demoiselle de compagnie arrivait vers lui et il ne put s'empêcher de la contempler de pieds en cap.
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Hisaé Takayama
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Got a Secret ;
■Pseudo : Alice
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MessageSujet: Re: Le vent me pousse, me fait respirer et me rassure... [Ryo] [SN - ARCHIVE]   Le vent me pousse, me fait respirer et me rassure... [Ryo] [SN - ARCHIVE] EmptyMar 6 Déc - 22:09

RP sans nouvelles depuis un mois. Je déplace vers la Corbeille. Si jamais vous souhaitez récupérer ce RP, vous n'avez qu'à envoyer un MP à un administrateur. Merci (:
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